Écriture d’après le strip « Le pont »

Les élèves ont tous reçu une même trame de trois vignettes dessinées par François Matton avec une amorce de texte. Ils ont chacun proposé des textes sous chaque case, en veillant à chercher un décalage entre image et texte, éviter la description.

Martin :

MartinKelyan :

KelyanNola :

NolaFidelia :

FideliaAboubacar :

AboubacarNolann :

NolannAlberto :

Alberto

Une réflexion au sujet de « Écriture d’après le strip « Le pont » »

  1. Ces autres variations autour de mes dessins commencent très bien avec le strip de Martin : Je me souviens quand je n’étais pas vivant / J’étais perdu au milieu de nulle-part / Et maintenant j’ai une vie super belle. La chute est très inattendue. Avec un début pareil, très sombre, on s’attendait au pire, eh bien non ! Ce happy-end est porteur d’espoir. En effet l’existence nous réserve d’heureuses surprises, alors même qu’on pensait que tout allait aller de plus en plus mal. Rien n’est jamais définitif, toute situation peut se retourner de façon heureuse.
    C’est bien de faire l’effort de se souvenir de moments que l’on a vécu et que l’on garde en mémoire dans une petite partie de notre cerveau. Ces moments ne sont pas toujours les plus importants aux yeux des autres (comme un mariage ou la réussite d’une très grande épreuve sportive) mais ils peuvent laisser une trace en nous parfois bien plus profonde. C’est pourquoi il est important de prendre parfois le temps de le réaliser en les dessinant ou en les notant sur un carnet.

Laisser un commentaire

Correspondance poétique avec François Matton