Marie Cosnay

Frank Smith

Thomas Vinau

Clémentine Mélois

Amandine André
& Hélène Breschand

Samantha Barendson
& Samir Aouad

Luc Bénazet,
Deborah Lennie
& Patrice Grente

Tone Škrjanec

Tina Darragh

Tonya Foster

Marcella Durand

Pierre Escot

Julien D'Abrigeon

Cartes blanches à Jet

tapin2

Vacarme

Les Divisions de la joie

La Moitié du Fourbi

La Folie kilomètre
"Oh ! Les mots en l'air"

Le Label des
Cousins crétins
"La Töy-party"

PIERRE ESCOT
auteur, plasticien

Le Carnet Lambert, lecture et projection de photographies
samedi 10 déc. à 22h30 / le lieu unique, salon de musique

Pierre Escot est écrivain, poète, éditeur et plasticien. Son œuvre se déploie dans les domaines de la poésie, de la photographie, de la vidéo, de l’installation, et du livre d’artiste. Son écriture entre récit, prose et poème travaille la question du langage et de son support (pots en verre, sous-vêtements, diaporamas, courts-métrages…). Il a publié Occiput, Les Bords, Décompte Zéro et Décompte Zéro Un aux éditions Derrière la salle de bains. Planning (éditions PPT, 2007) est un récit fait de notes consignées dans un agenda. L’écriture sous forme d’annotations construit un récit entrelacé où le monde impitoyable du travail tutoie la vie intérieure. Son dernier ouvrage, Le Carnet Lambert (Art&Fiction, 2015) est un jeu de pistes dérivant autour de l’existence mythique d’un carnet entre poèmes, fragments et textes programmatiques. Un objet-miroir fait de glissements, de pièges, de modes d’emplois détournés, de slogans concassés, de lueurs méthodologiques, de pistes de fictions et d’aires de jeux fantômes.

« Plus qu’un objet littéraire, Le Carnet Lambert est une pièce d’art contemporain. Un manuel Fluxus à l’attention du lecteur. […] chacun comprendra le Carnet Lambert selon ses propres projections. L’ouvrage – Nécronomicon bienveillant – happe le lecteur, non pas dans une mise en abîme gadget, mais dans un vortex de proses. Une fois l’état de stupéfaction passé, nous commençons alors notre propre construction du Carnet Lambert. La lecture devient alors un acte créatif. »
Camille Larbey dans Gonzaï.

 

 

© Dom Garcia


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